15 juin 2008
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16:02
Le redémarrage de l'écriture est rude, pour deux raisons :
- Voilà trois semaines que je n'ai pas "planché" sur un thème et la mécanique cérébrale est rouillée. Cela confirme ce que j'avais pressenti il y a quelques mois : on ne peut améliorer ses capacités intellectuelles (synthèse, analyse, démonstration, compréhension...) que par un exercice intellectuel régulier et répété. C'est amusant de voir que le cérébral fonctionne comme le corporel. Le problème immédiat va donc être de s'y remettre. Et vite. L'oisiveté intellectuelle doit probablement être utile à des moments précis de la vie, mais je crains que, d'une manière générale, elle soit un poison séduisant du quotidien. Conclusion : il faut stimuler l'intellect (culture) et le faire produire (réflexion) pour être intellectuellement performant. Et si l'on préfère "se laisser vivre", il suffit d'allumer la télévision et de se laisser bercer par la douce musique du consumérisme bêtifiant. Quelque chose me dit, une lumière lointaine, que ce mode de vie nous fait rater l'essentiel.
- Comme nous en parlions récemment avec mon ami D. (le premier qui trouve la référence cinématographique cachée dans cette phrase gagne un bol de Tarako) la mobilisation du potentiel cérébral suppose une disponibilité intellectuelle, c'est à dire que l'on ne soit pas happé par des préoccupations matérielles ou conjoncturelles. Il se trouve que le moment n'est pas encore venu pour moi, je reste préoccupé par des soucis purement matériels "post déménagement". Du coup, la concentration n'est pas optimale.
Donc, on va démarrer doucement.
- Voilà trois semaines que je n'ai pas "planché" sur un thème et la mécanique cérébrale est rouillée. Cela confirme ce que j'avais pressenti il y a quelques mois : on ne peut améliorer ses capacités intellectuelles (synthèse, analyse, démonstration, compréhension...) que par un exercice intellectuel régulier et répété. C'est amusant de voir que le cérébral fonctionne comme le corporel. Le problème immédiat va donc être de s'y remettre. Et vite. L'oisiveté intellectuelle doit probablement être utile à des moments précis de la vie, mais je crains que, d'une manière générale, elle soit un poison séduisant du quotidien. Conclusion : il faut stimuler l'intellect (culture) et le faire produire (réflexion) pour être intellectuellement performant. Et si l'on préfère "se laisser vivre", il suffit d'allumer la télévision et de se laisser bercer par la douce musique du consumérisme bêtifiant. Quelque chose me dit, une lumière lointaine, que ce mode de vie nous fait rater l'essentiel.
- Comme nous en parlions récemment avec mon ami D. (le premier qui trouve la référence cinématographique cachée dans cette phrase gagne un bol de Tarako) la mobilisation du potentiel cérébral suppose une disponibilité intellectuelle, c'est à dire que l'on ne soit pas happé par des préoccupations matérielles ou conjoncturelles. Il se trouve que le moment n'est pas encore venu pour moi, je reste préoccupé par des soucis purement matériels "post déménagement". Du coup, la concentration n'est pas optimale.
Donc, on va démarrer doucement.

Une photographie prise sur le vif : un oeil gigantesque (un reportage sur des fourmis) semble regarder avec hauteur et insistance la pauvre Pitou, dans le clair-obscur du doute, qui détourne son regard d'un air gêné et un peu triste. A opposer à :

L'Homme fait face à son créateur et soutient son regard avec confiance.
Comme quoi, il vaut mieux être un homme conscient et courageux qu'un félin pleutre noyé dans son pathos. (qui est le connard qui a gueulé "noyé dans sa pâtée" !!! Tu as pourri mon effet conclusif, je te déteste !!!).
PS : le premier qui identifie le second degré dans cet article gagne un second bol de Tarako, les deux petites filles chanteuses qui vont bien et un beau chapeau rouge pour briller dans les dîners en ville.
Comme quoi, il vaut mieux être un homme conscient et courageux qu'un félin pleutre noyé dans son pathos. (qui est le connard qui a gueulé "noyé dans sa pâtée" !!! Tu as pourri mon effet conclusif, je te déteste !!!).
PS : le premier qui identifie le second degré dans cet article gagne un second bol de Tarako, les deux petites filles chanteuses qui vont bien et un beau chapeau rouge pour briller dans les dîners en ville.